Cette stèle romane provenant du Musée Archéologique de Dijon était recouverte d’un épais voile de calcite grisâtre et d’efflorescences de sulfates. Une observation poussée a permis de détecter une polychromie insoupçonnée sous ces épaisses strates. L’opération initialement programmée pour stabiliser l’œuvre en extrayant les sels, s’est finalement orientée vers un dégagement de polychromie. Réalisé grâce aux résines échangeuses d’ions, un décor très bien conservé a pu être révélé.
Cette stèle romane provenant du Musée Archéologique de Dijon était recouverte d’un épais voile de calcite grisâtre et d’efflorescences de sulfates. Une observation poussée a permis de détecter une polychromie insoupçonnée sous ces épaisses strates. L’opération initialement programmée pour stabiliser l’œuvre en extrayant les sels, s’est finalement orientée vers un dégagement de polychromie. Réalisé grâce aux résines échangeuses d’ions, un décor très bien conservé a pu être révélé.
Cette stèle romane provenant du Musée Archéologique de Dijon était recouverte d’un épais voile de calcite grisâtre et d’efflorescences de sulfates. Une observation poussée a permis de détecter une polychromie insoupçonnée sous ces épaisses strates. L’opération initialement programmée pour stabiliser l’œuvre en extrayant les sels, s’est finalement orientée vers un dégagement de polychromie. Réalisé grâce aux résines échangeuses d’ions, un décor très bien conservé a pu être révélé.
Cette stèle romane provenant du Musée Archéologique de Dijon était recouverte d’un épais voile de calcite grisâtre et d’efflorescences de sulfates. Une observation poussée a permis de détecter une polychromie insoupçonnée sous ces épaisses strates. L’opération initialement programmée pour stabiliser l’œuvre en extrayant les sels, s’est finalement orientée vers un dégagement de polychromie. Réalisé grâce aux résines échangeuses d’ions, un décor très bien conservé a pu être révélé.
Cette stèle romane provenant du Musée Archéologique de Dijon était recouverte d’un épais voile de calcite grisâtre et d’efflorescences de sulfates. Une observation poussée a permis de détecter une polychromie insoupçonnée sous ces épaisses strates. L’opération initialement programmée pour stabiliser l’œuvre en extrayant les sels, s’est finalement orientée vers un dégagement de polychromie. Réalisé grâce aux résines échangeuses d’ions, un décor très bien conservé a pu être révélé.


